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il y a 4 ans
A défaut de fille, les garçons s’amusent ensemble
Michel, dont les parents louaient un appartement à la Grande Motte se prêta souvent au naturisme. Il fut mon seul copain dans ce lycée privé. En allant au stade nous rencontrions assez souvent des filles et certaines se laissaient caresser. Mais caresser seulement ! Nous étions très jeunes. Elles aussi ! Nous restions puceaux ! Voilà une série d’histoires bien banales me diriez-vous mais la suite l’est moins. Une des filles nous donna un espoir fou ! Nous pouvions enfin nous dépuceler !
Nous devions la rencontrer chez Michel, ses parents étant absents de l’appartement qu’ils louaient dans une des « pyramides » de la Grande Motte.
Las ! Au dernier moment, c’est-à-dire alors qu’elle devait déjà être avec nous, elle s’est décommandée par téléphone, nous laissant sur notre faim ; c’était trop tard pour changer notre programme, seules restaient notre conversation et la télé pour nous satisfaire. Cependant très rapidement, c’est sur nos relations avec elle que nos récits se sont portés, chacun racontant plus ou moins les doux exploits qu’il avait souhaité avec elle. Très vite mon sexe a gonflé et un regard vers mon copain m’a prouvé que je n’étais pas le seul à être excité. La surprise est venue quand, ouvrant son pantalon, il a commencé à se caresser, tout en continuant notre brûlante conversation ; je l’avais déjà vu tout nu dans les douches, et nous gardions en mémoire la chaleureuse intimité que nous nous étions prodiguée maintes fois dans mon lit de pensionnaire de bahut.
Mais là son gland était décalotté et turgescent ; en me regardant, il me dit : « ne te gène pas, toi aussi tu bandes, je le vois ! ». L’envie est forte. Puis se levant, choisissant une cassette, Michel se dirige vers la télé et commence alors un film porno et s’asseyant près de moi, il se branle en regardant le film. C’était la vidéo d’un trio de deux garçons et d’une fille. Nous avions au moins la vue à défaut du physique devant nous.
Non seulement ils baisent la fille, mais en plus, ils se tripotent allègrement ; je dois reconnaître que je suis particulièrement excité. Soudain Michel se tourne vers moi et ouvre mon pantalon, « vas-y ne te gène pas, tu en as aussi envie que moi » me dit-il en sortant mon sexe. Et il le branle hardiment.
Alors je quitte mon pantalon et la tige tendue, mélangeant le plaisir et le fruit défendu, je m’offre à sa caresse. Il se penche et gobe mon sexe. Une décharge de plaisir me parcourt le corps, puis se retirant il vient me lécher, du gland jusqu’aux couilles ; sa langue, chaude et ardente me pénètre puis à nouveau il me suce en me malaxant les boules, les tirant en arrière ce qui me provoque une première jouissance ; je sens mon plaisir monter et j’essaie de me retirer, mais il m’agrippe, avalant ma semence jusqu’à la dernière giclée.
Mon corps est parcouru de frisson et je réalise que je viens de jouir comme lorsque nous étions en internat. Sa peau est douce, une goutte perle au bout du méat ; je la caresse, fébrilement, essayant de lui apporter le même plaisir. Pour lui cela ne suffit pas et me prenant les cheveux, il me fait pencher sur ce sexe qui m’attire. Maladroitement je le suce, j’ai soudain envie de le faire jouir et de boire sa liqueur comme quand nous étions pensionnaires.
Je découvre un nouveau plaisir et mon ventre est envahit par une douce chaleur ; je sens bientôt son membre parcouru de spasmes et ses jets s’écrasent dans ma bouche ; surpris je ne peux tout avaler et me redressant, Michel me lèche les lèvres, puis c’est un véritable baiser. Sa langue me fouille la bouche ; d’abord rétif, je lui réponds, et c’est un véritable baiser d’amoureux qui nous unis, long et langoureux.
« J’ai envie de toi, viens…». Me prenant par la main, il m’entraîne vers sa chambre. Sur le parcours, nos vêtements ont valsés et c’est complètement nus qu’il me renverse sur le lit, sa bouche avalant à nouveau ma queue bandée par l’envie.
Sa langue me parcourt la tige puis, m’écartant les cuisses, il investit mon sillon ; quand sa langue me touche la rondelle, je ne peux retenir un long gémissement de plaisir ; un jet de salive atterrit sur mon orifice. Un doigt vient en titiller l’entrée ; quand il s’incruste, je ne peux retenir une crispation, appréhendant la douleur, mais il reste doux et bientôt son doigt me pénètre, dilate le conduit qui doucement s’élargit et c’est bientôt un deuxième doigt qui me pénètre ; il n’y a plus de crainte, je sais qu’il va me sodomiser et j’ai envie d’être sa chose.
Me mettant à plat ventre au bord du lit, j’écarte bien mes cuisses. Son gland vient doucement frotter mon trou, glisse sur l’entrée puis remonte le long du sillon, avant de percer doucement la résistance. Là mon conduit se dilate et sa queue me pénètre, lentement, mais fermement. Je pousse un cri vif. Son gland vient d’écarter des résistances ultimes. Michel s’arrête. La douleur s’apaise. C’est moi qui balbutie « pardon c’est idiot de ma part, continue ! » La douleur du début a presque disparu, laissant place à une montée rapide du plaisir ; bientôt ses couilles viennent frapper les miennes ; ressortant sa queue, il recommence mais cette fois il me percute puissamment, s’enfonçant d’une seule traite et commence alors une baise, rapide, profonde jusqu’à la garde à chaque coup de queue ;
Je gémis, sous les coups de butoir, j’encaisse sa queue avec bonheur, je cambre mes reins pour qu’il aille plus loin, plus fort ; ma queue tendue me fait mal, j’ai envie de jouir, mais j’ai aussi envie que le plaisir dure ; puis c’est la délivrance ; il se cabre et sa queue me déverse ses flots de sperme. Ses jets, nombreux et chauds me frappent les entrailles et soudain c’est moi qui explose, je crie mon bonheur et j’éjacule sans m’être touché.
Repus de plaisir, nous nous sommes reposés l’un contre l’autre. Et c’est à plusieurs reprises après mettre fait plusieurs fois enculé, c’est les yeux cernés que je voulu repartir, sachant
maintenant que j’aimais me faire prendre… par le derrière.
– Mais je reste puceau pour les filles, lui dis-je. Je n’ai fait que les caresser dans une dune de la plage naturiste. Une m’a branlé mais sans se laisser pénétrer. Mais maintenant grâce toi je ne suis plus puceau du derrière !
– Moi, par contre répond Michel je suis toujours puceau … et des deux côtés ! Toi j’aimerais que tu me fasses ce que je t’ai fait !
– Oui dis-je, c’est bien normal, je te baiserai parce que… vois-tu… Je t’aime !
Au bout d’un long moment alors que le film remis dans la télé nous excite à nouveau je tente de le caresser. Nous sommes toujours nus. L’appartement est à nous toute la nuit et même demain ! Je téléphone à ma mère que je suis chez Michel et que je souhaite rester chez lui jusqu’à demain. Elle le connaît. Elle sait que ce garçon est mon meilleur copain, elle connaît ses parents, elle sait que Michel est sérieux et elle accepte de me savoir là.
Nous nous habillons d’un tee-shirt et d’un shorty pour aller dans le petit restaurant au bas de l’immeuble. Mais avant je consultais ma montre et lui dis :
– Attends moi là ! La pharmacie n’est pas encore fermée !
– Mais pourquoi faire ?
– Tu m’as bien dit que tu voulais être baisé… par moi… et j’en ai envie.
– Oui, mais nous n’avons pas besoin de préservatif !
– Pas de préservatif mais de lubrifiant. Reste là. N’y entrons pas tous les deux ça choquerait !
Je ressors avec deux tubes dans un sachet en papier. Puis nous entrons dans le restaurant.
Il y avait déjà un peu de monde ce soir mais nous trouvons une table retirée et doucement notre conversation devient des plus érotiques. Il me dit qu’il m’aime. Il veut que je lui ouvre bien les fesses pour les lui remplir de mon jus tant que je le souhaite. Il sait pourtant que ma verge est de bonne dimension mais l’idée d’avoir acheté du lubrifiant lui parait géniale ! Cette conversation nous chauffe et nous nous apprêtons à sortir. En traversant la petite salle de restaurant nous regrettons de n’avoir revêtu qu’un short si léger ! Nos organes pointent dans notre petit vêtement. Le garçon de la caisse sourit. Nous cherchons à sortir vite mais les autres dineurs peuvent voir notre érection ! Nous avions posé le sachet sur la table et il montait qu’il s’agissait de « pharmacie ». Mais notre honte devient fierté et nous sommes passés devant tous sans plus de gène, la bite raide dans nos slips. Notre public nous regardait en fait avec une tendre stupéfaction. Disons que lui et moi sommes de très beaux garçons. Je suis sûr qu’ils envient les lignes de notre corps et notre tendre jeunesse. Michel sait que je vais m’occuper de son derrière et doit en frémir !
C’est dans cet état que dès l’entrée nous quittons ces vêtements qui trahissaient nos désirs. Michel est allé chercher une boisson. Nu à nouveau je caresse son dos. Il s’est appuyé contre le bord du lit sur un gros oreiller. Ses fesses sont à la hauteur de mon organe. Il écarte ses cuisses. J’ouvre les hémisphères souples de son derrière. Ma langue s’y introduit. Il gémit doucement, la tête contre le lit. Son plaisir est intense. Je le sais. Je fais ce qu’il m’a déjà fait et mon plaisir est intense aussi. Son anus est plein de ma salive. Je vais lui ajouter une bonne dose de lubrifiant. Je débouche le tube et le lui introduis. J’appuie lentement en le retirant doucement. Je sais que je lui ai empli l’orifice d’une bonne dose. Mon doigt s’y introduit aussi.
Il resserre instinctivement ses sphincters. Je lui dis de se détendre au maximum. J’y fais pénétrer mes deux doigts, puis trois. Il est bien détendu. Je mets un peu plus de lubrifiant dans son orifice bien ouvert . Je sais, qu’en raison de mon organe fortement proportionné pour mon âge, ma pénétration devra être lente. Je ne veux surtout pas qu’il ait mal. Du moins très peu.
Je me branle pour faire revenir une bonne érection. Je fais promener mon gland autour de son anus. Je le fais pénétrer mais je sens la résistance naturelle de son orifice. Je pousse. Je le vois mordre l’oreiller. Il ne dit rien mais doit avoir un peu mal. Je sais qu’il faut pénétrer vite. Il pousse un cri ! Je ne bouge plus, le rassure. Il me dit de continuer. Que c’est supportable. Je m’enfonce lentement. Il me dit ne plus avoir mal. Oh que j’aime le pénétrer ! Je le lui dis ! Il me dit de continuer. Maintenant ce sont des va-et-vient faciles. Mon organe raidi et brûlant de désir, glisse dans le lubrifiant ! Il me dit qu’il aime ça. Il gémit en disant « oh ! je t’aime ! ». Il le répète sans cesse ! Je fais durer l’opération. Pour lui. Pour moi aussi ! Puis je l’avertis que je ne vais pas tarder à éjaculer ! « Oui vas-y ! vas-y ! vas-y !… » je pousse un cri de plaisir. Plusieurs jets se propulsent en lui. Je le lui dis. Il est pleinement heureux. Je reste en lui. Ma tige se ramollit lentement. Et tout aussi lentement je me retire. Nos bouches se joignent.
– Voilà lui dis-je tu n’es plus puceau. Mais pour les filles nous sommes encore deux puceaux.
Nos bouches se joignent encore. Je vois quelques larmes dans ses yeux. Il me demandera deux fois encore de le « prendre » pendant la nuit.
Beau gigi
Wow très belle histoires |
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